| Ils font fortune par la dépossession illicite des autres  | 
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       Bâtonnier de l'ordre d Emplacement de l'imprimé postal collé ici (lettre ouverte) 
       
        René FORNEY            
                            
             Grenoble le mardi 21 décembre 
        2004 
        4 chemin Montrigaud, 38 000 Grenoble, Tel : 06 13 84 59 96           
                            Lettre RA 6563 2588 8FR 
       
           
        A l'attention 
          de Monsieur DETROYAT Jean-Michel 
                              Bâtonnier 
          de l'ordre des avocats de Grenoble 
     18 av. Felix-Viallet, 38 000 Grenoble 
       
      Objet 
        : Assistance d'avocat obligatoire 
        Ordonnance RG. 04/05271 de M le 
        Juge-commissaire LEGER Jean-Claude :  
      Monsieur, 
        Le contexte des pressions dues aux personnes impliquées par les 
        fraudes dans mon dossier rend toute aide 
        d'un des avocats du barreau de Grenoble impossible. Aussi dépendant 
        de l'aide juridique, je vous demande 
        d'accepter la désignation d'un avocat extérieur au barreau 
        de Grenoble. 
      Vous 
        comprendrez ma requête en examinant l'attitude des avocats de l'aide 
        juridique locale : 
       
        Me 
          NAFIR GOUILLON :  
          " Oui, je suis désigné 
          mais ne comptez pas sur mon aide ... " 
          (Contre BOTTA AUBERT Annie) 
        Le 
          précédent, a d'abord dit qu'il allait se déclarer 
          incompétent à agir contre un confrère et que le 
          tribunal 
          allait faire de même. Puis, au rendez-vous suivant : " je 
          ne vous ai jamais dit ça " !!! ... Malgré mes quatre 
          lettres recommandées, Me TIXIER Gérard 
          a refusé d'identifier ses lettres. Il 
          justifiait ses actions par des lettres sans en-tête ni signature 
          ! (Contre 
          BOTTA- AUBERT) 
        Me 
            COSTA Alban a d'abord été désigné pour mon 
          action contre MARGAILLAN Henri associé 
          de CWIKOWSKI Bruno (actuellement en prison) ancien commissaire de 
          police révoqué mais associé aussi de 
          l'amant de mon épouse GIRAUD Paul Maurice. J'avais surpris 
          MARGAILLAN en train de me voler mon courrier. Il a déclaré 
          travailler pour CWIKOWSKI Bruno. Depuis 
          1998, ces personnes ont organisé ma spoliation de mes biens de 
          plus de 4 millions de francs et mon 
          divorce. A cause de cela que je suis au RMI depuis quatre ans. 
          Au premier rendez-vous, Me COSTA me dit : " 
          Vous ne croyez pas que le juge 
          BUFFIN va engager une action contre MARGAILLAN avec les états 
          de 
          service qu'il a " ! J'ai appris plus tard que ses états 
          de service n'ont rien d'élogieux. Ce qui n'a pas 
          empêché les juges Bernard BUFFIN et BUISSON Jacques de 
        bloquer la procédure. 
       
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      Me COSTA, 
        désigné aussi : 
       
        - Pour 
          mon premier recours en révision m'a prévenu : " j'ignore 
          tout de cette procédure 
          mais Me Dreyfus m'a dit que j'étais là pour apprendre 
          " ! J'ai donc traité moi-
          même ce dossier essentiellement avec l'avoué Me POUGNAND          Hervé qui a traîné des pieds. 
          Quand j'ai demandé l'inventaire des pièces 
          du dossier présenté à la cour 
          (procédure en récolement) il s'est dégagé 
          de toute action et devant mon insistance, s'est désisté 
          huit jour avant l'audience ! 
          - Pour m'assister contre les impayés (conséquences de 
          mon divorce et des faux de la partie adverse), il 
          ne vient pas à l'audience malgré les informations ... 
       
      En 2003, 
        pour mes plaintes présentées à M FAYEN, le dernier 
        avocat désigné justifie son inaction en disant 
        que le procureur ne répond pas à ses courriers et qu'il 
        ne peut donc rien faire. 
      Avant 
        cela, j'avais rassemblé les moyens pour financer l'assistance des 
        avocats, mais : 
       
        Me 
              BOTTA AUBERT a organisé mon jugement de première instance 
          (21 
          mars 2000) sans pièce ni conclusions. 
          En appel, j'ai du la quitter parce que j'ai constaté qu'elle 
          continuait à bloquer mes pièces après avoir exigé 
          et obtenu le paiement de sa facture prévisionnelle ... 
        En 
          mai 2001, le seul avocat, qui a accepté de prendre mon dossier 
          après Me BOTTA a été Me 
          DREYFUS Denis, bâtonnier à Grenoble 
          avant vous. Pour se dégager de sa 
          responsabilité dans la transmission de mes pièces sulfureuses, 
          il m'a dit :  
          " La date de clôture est trop proche, vous devez apporter 
          vos pièces 
          directement à votre avoué Jean CALAS ". Alors 
          qu'il avait la possibilité de demander un 
          report d'audience ! 
        En 
          1998, avant Madame BOTTA AUBERT, j'étais assisté de Me 
          BESSON 
          MOLLARD. Celle-ci, après deux mois 
          de relance, a fini par me répondre qu'elle a obtenu l'ordonnance 
          que je demandais contre l'amant de mon épouse, et qu'elle est 
          partie par la poste à l'huissier Me MOURE 
          chargé du constat. Mais, il n'a jamais reçu 
          cette ordonnance malgré la confirmation écrite de Me BESSON. 
          J'ignorais qu'avocats et huissiers communiquaient par les boîtes 
          du palais de justice et non par la poste ! 
       
      Vous 
        apprécierez s'il s'agit d'un problème d'incompétence, 
        d'indépendance de vos confrères ou d'illères 
        fortement conseillées. 
      En lisant 
        mon second recours en révision 
        du 16/09/04 (prochainement déposé à votre cabinet 
        mais aussi sur 
        Internet, comme vous le savez), vous aurez les preuves de l'ampleur 
        des manipulations, vous remarquerez 
        le retrait en espèces adverse 
        de 422 607,00 frs (65 000 euros de biens communs) 
        effectué au moment clef où 
        j'insistais fortement, auprès de Me BOTTA, pour que mes pièces 
        essentielles soient transmises à l'avoué (Elle m'avait conseillé 
        l'avoué Me Jean CALAS qui a bloqué les pièces 
        à son tour). 
      Je vous 
        prie d'agréer, Monsieur le Bâtonnier, mes respectueuses salutations. 
      NB : 
      
        Laisser 
          faire ou cautionner ces attitudes ne peut que nuire à l'image 
          et la crédibilité de votre profession. 
          Moi je considère que cela est proprement intolérable dans 
          le fonctionnement de la justice. Pour ces raisons, 
          tout est publié, et le restera toujours, sur mon site 
          Internet qui sera toujours 
          accessible en 
          tapant sous un moteur de recherche : 
          botta aubert avocate ou juge douysset michel 
       
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