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       M FORNEY René 
        4 chemin Montrigaud, 38000 Grenoble -Tel : 06 13 84 59 
        96       Grenoble 
        le 9 juillet 2002 
        Adresse courrier 
        : chez M Pxxxxxxxxxx 
        15, montée xxxxxxxx 38xxxxxxxxx 
      Lettre R avec AR 
       
         
           
            A l'attention de Monsieur 
              Le Procureur de la République 
             
               
                Tribunal 
                  de Grande Instance de Grenoble 
                  Palais de Justice, Place St André, 38 000 Grenoble 
               
             
           
           Monsieur le Procureur, 
         
       
      Je dépose plainte, 
        avec constitution de partie civile, pour Escroquerie, Abus de confiance, 
        corruption et fautes professionnelles selon les articles 313-4, 314-1 
        et 441-8 du nouveau code pénal et tous articles en rapport avec 
        les faits. Cela, à l'encontre de Madame BOTTA-AUBERT, 17 rue Augerau, 
        38000 Grenoble.  
      En effet, en première 
        instance : 
        L'action de mon avocate, Mme Botta a conduit à un jugement (21) 
        dans lequel il est indiqué que j'ai été jugé 
        sans pièce ni conclusion (21, 
        9) parce qu'elle a remis 
        (22) les pièces 
        trop tardivement. Elle possédait pourtant l'essentiel des documents 
        plusieurs mois avant l'audience. Elle ne pouvait ignorer le risque du 
        refus des pièces par le juge. Ce comportement a donc été 
        volontaire, et, ce qui s'est passé par la suite confirme qu'il 
        y a eu arrangement avec la partie adverse. 
        Ce jugement a donc été rendu sur la base des seules déclarations 
        de mon épouse et des documents construits par M Giraud, l'amant 
        de mon épouse (25, 
        26). 
      En effet, en appel : 
        J'ai voulu transmettre des preuves (28), 
        j'ai rencontré l'opposition, d'abord discrète, de Me Botta. 
        Puis, pour lui simplifier sa tâche, j'ai voulu démontrer 
        les manipulations (18 page 2/9 et 
        suivante) du système judiciaire par mon épouse, son amant, 
        M Margaillan ... J'ai alors déposé (17) à son cabinet 
        un projet (18) de conclusions, que 
        je lui ai demandé de transmettre, en vain. 
        Puis, me renseignant par ailleurs, j'insistais. Et, plus j'insistais, 
        plus l'opposition devenait claire (13). Le 
        14 mars, j'ai dû moi-même envoyer ces conclusions à 
        l'avoué (12). 
        Ne parvenant pas (20, 19, 18, 16, 15, 14, 13) 
        à faire transmettre mes documents, j'ai été contraint 
        de changer d'avocat malgré le paiement des provisions demandées 
        (24). 
        J'ai ensuite découvert (10) que mon avocate n'avait pas non plus 
        versé les pièces de première instance à la 
        cour. Cette action confirme aussi le blocage volontaire.  
        Ces blocages ont entraîné un arrêt incohérent 
        de la cour d'appel (23). 
      Mon préjudice (27) est 
        très élevé du fait que : 
        - mes biens resteront bloqués encore plus longtemps (entre les 
        mains de mon épouse et son amant) me mettant dans l'impossibilité 
        de les utiliser pour reprendre une activité. 
        - des dettes communes qui concernaient mon activité m'ont été 
        attribuées et celle-ci s'aggravent avec le temps. Je suis dans 
        l'impossibilité de les payer. 
      Au moment où de mon 
        avocate refusait de transmettre mes pièces essentielles à 
        l'avoué, mon épouse a effectué (60) 
        un important débit en espèces 
        : 422 607 F ! 
      Récemment, j'ai eu confirmation 
        par des associations d'aide aux victimes de la justice, que c'est le TGI 
        qui est compétent pour juger ces faits. Je déplore que Me 
        Dreyfus m'ait orienté vers une impasse (2, 8) 
        en me conseillant (6) d'engager une action (5) 
        par devant le Bâtonnier. 
      Je vous remercie donc de 
        faire enregistrer ma plainte et d'engager la procédure associée 
        pour faire valoir mes droits. 
         
        Je vous prie de recevoir, Monsieur le Procureur, mes respectueuses salutations. 
       
         
          NB : pièces 
            en références notées : (2, 8) 
             Pièces 
            jointes : 
            - Liste du 9 juillet 
            2002 des copies de pièces. 
            - Pièces de la liste ci-dessus ( 1 à 28 et 60 
            à 62). 
         
       
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